[article] | Titre : | Hollande : la fin des têtes de chiens | | Type de document : | texte imprimé | | Auteurs : | Dominique Seret, Auteur | | Article en page(s) : | P. 19-20 | | Langues : | Français | | Catégories : | [Mots-clefs] 361-365 [Mots-clefs] 371-393 [Mots-clefs] 711-757 [Mots-clefs] 761-786 [Mots-clefs] Automotrice Electrique [Mots-clefs] Chemin De Fer [Mots-clefs] Hollande [Compagnie] NS (HOLLANDE) [Année] 1956-1994 [Ligne] Arnhem [Ligne] Eindhoven [Ligne] Emmen [Ligne] La Haye [Ligne] Nijmegen [Ligne] Roosendaal [Ligne] Venlo [Ligne] Zwolle
| | Résumé : | "La création du réseau genevois de transports publics a permis le développement de la ville et a favorisé son industrialisation. Ces résultats ont été obtenu sans aucune participation financière de l'Etat, la CGTE ne touchant aucune subvention. D'autre part, la compagnie représente une source d'emplois et un client pour l'industrie locale. L'absence de subvention rend nécessaire la couverture des dépenses par les recettes. Diverses réorganisations des tarifs ont permis d'atteindre le ""tarif optimum"" et toute nouvelle modification de celui-ci ne pourrait qu'entrainer une baisse des recettes. A la veille de la guerre, la compagnie avait presque retrouvé son équilibre financier, sans licenciement durant la crise." | in Voies ferrées > 85 (septembre-octobre 1994) . - P. 19-20
[article] Hollande : la fin des têtes de chiens [texte imprimé] / Dominique Seret, Auteur . - P. 19-20. Langues : Français in Voies ferrées > 85 (septembre-octobre 1994) . - P. 19-20 | Catégories : | [Mots-clefs] 361-365 [Mots-clefs] 371-393 [Mots-clefs] 711-757 [Mots-clefs] 761-786 [Mots-clefs] Automotrice Electrique [Mots-clefs] Chemin De Fer [Mots-clefs] Hollande [Compagnie] NS (HOLLANDE) [Année] 1956-1994 [Ligne] Arnhem [Ligne] Eindhoven [Ligne] Emmen [Ligne] La Haye [Ligne] Nijmegen [Ligne] Roosendaal [Ligne] Venlo [Ligne] Zwolle
| | Résumé : | "La création du réseau genevois de transports publics a permis le développement de la ville et a favorisé son industrialisation. Ces résultats ont été obtenu sans aucune participation financière de l'Etat, la CGTE ne touchant aucune subvention. D'autre part, la compagnie représente une source d'emplois et un client pour l'industrie locale. L'absence de subvention rend nécessaire la couverture des dépenses par les recettes. Diverses réorganisations des tarifs ont permis d'atteindre le ""tarif optimum"" et toute nouvelle modification de celui-ci ne pourrait qu'entrainer une baisse des recettes. A la veille de la guerre, la compagnie avait presque retrouvé son équilibre financier, sans licenciement durant la crise." |
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